RESUMO
Menopausal hormone therapy (MHT) is known to increase the risk of venous thromboembolism (VTE), which includes deep vein thrombosis, pulmonary embolism, and less frequently cerebral vein thrombosis, but the absolute risk for a given patient is very low. After starting MHT, the risk of VTE seems to be at its highest, declining to the non-HRT user baseline level of risk after stopping. Whether estrogen-only or estrogen-progestin HRT combination is linked to a similar risk of VTE is unclear from the available evidence. The aim of this study is to evaluate the risks of developing VTE in relation to different types as well as different modes of administration of MHT through a database search including PubMed, MEDLINE, Google Scholar, Cochrane Library, and others in order to provide the women carers with the up-to-date and evidence-based guidelines and recommendations while counseling the post-menopausal women enquiring on use of hormonal therapies either to alleviate the menopausal symptoms or to prevent the long-term sequelae of estrogen deficiency.
On sait que l'hormonothérapie ménopausique (MHT) augmente le risque de thromboembolie veineuse (TEV), qui comprend la thrombose veineuse profonde, l'embolie pulmonaire et, moins fréquemment, la thrombose veineuse cérébrale, mais le risque absolu pour un patient donné est très faible. Après le début du MHT, le risque de TEV semble être à son plus haut niveau, diminuant jusqu'au niveau de risque de base des non-utilisatrices de THS après l'arrêt. Les preuves disponibles ne permettent pas de savoir si un THS à base d'Åstrogène seul ou d'association Åstroprogestative est lié à un risque similaire de TEV. Le but de cette étude est d'évaluer les risques de développer une TEV par rapport à différents types ainsi qu'à différents modes d'administration du MHT grâce à une recherche dans des bases de données comprenant PubMed, MEDLINE, Google Scholar, Cochrane Library et autres afin de fournir aux femmes les soignants avec les lignes directrices et recommandations à jour et fondées sur des preuves tout en conseillant les femmes ménopausées qui se renseignent sur l'utilisation de thérapies hormonales, soit pour soulager les symptômes de la ménopause, soit pour prévenir les séquelles à long terme d'une carence en Åstrogènes.
